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Patrick Bruel – Perlimpinpin lyrics
Pour qui, comment quand et pourquoi?
Contre qui? Comment? Contre quoi?
C'en est assez de vos violences
D'où venez-vous, où allez-vous, qui êtes-vous, qui priez-vous?
Je vous prie de faire silence
Pour qui, comment, quand et pourquoi?
S'il faut absolument qu'on soit
Contre quelqu'un ou quelque chose
Je suis pour le soleil couchant
En haut des collines désertes
Je suis pour les forêts profondes
Car un enfant qui pleure
Qu'il soit de n'importe où
Est un enfant qui pleure
Car un enfant qui meurt
Au bout de vos fusils
Est un enfant qui meurt
Que c'est abominable d'avoir à choisir
Entre deux innocences
Que c'est abominable d'avoir pour ennemis
Les rires de l'enfance
Pour qui, comment, quand et combien?
Contre qui? Comment et combien?
À en perdre le goût de vivre
Le goût de l'eau, le goût du pain
Et celui du Perlimpinpin
Dans le square des Batignolles
Mais pour rien, mais pour presque rien
Pour être avec vous et c'est bien
Et pour une rose entr'ouverte
Et pour une respiration
Et pour un souffle d'abandon
Et pour un jardin qui frissonne
Ne rien avoir, mais passionnément
Ne rien se dire éperdument
Ne rien savoir avec ivresse
Riche de la dépossession
N'avoir que sa vérité
Posséder toutes les richesses
Ne pas parler de poésie, ne pas parler de poésie
En écrasant les fleurs sauvages
Mais voire jouer la transparence
Au fond d'une cour aux murs gris
Où l'aube n'a jamais sa chance
Contre qui ou bien contre quoi?
Pour qui, comment, quand et pourquoi?
Pour retrouver le goût de vivre
Le goût de l'eau, le goût du pain
Et celui du Perlimpinpin
Dans le square des Batignolles
Et contre rien, contre personne
Contre personne et contre rien
Mais pour une rose entrouverte
Pour l'accordéon qui soupire
Et pour un souffle d'abandon
Et pour ce jardin qui frissonne
Et vivre, vivre passionnément
Et ne combattre seulement
Qu'avec les feux de la tendresse
Et riche de dépossession
N'avoir que sa vérité
Posséder toutes les richesses
Ne plus parler de poésie, ne plus parler de poésie
Mais laisser vivre les fleurs sauvages
Et faire jouer la transparence
Au fond d'une cour aux murs gris
Où l'aube aurait enfin sa chance
Et vivre
Vivre passionnément
Et ne combattre seulement
Qu'avec les feux de la tendresse
Et riche de dépossession
N'avoir que sa vérité
Posséder toutes les richesses
Rien que la tendresse
Pour toute richesse
Rien que la tendresse
Pour toute richesse
Rien que la tendresse
pour toute richesse
Contre qui? Comment? Contre quoi?
C'en est assez de vos violences
D'où venez-vous, où allez-vous, qui êtes-vous, qui priez-vous?
Je vous prie de faire silence
Pour qui, comment, quand et pourquoi?
S'il faut absolument qu'on soit
Contre quelqu'un ou quelque chose
Je suis pour le soleil couchant
En haut des collines désertes
Je suis pour les forêts profondes
Car un enfant qui pleure
Qu'il soit de n'importe où
Est un enfant qui pleure
Car un enfant qui meurt
Au bout de vos fusils
Est un enfant qui meurt
Que c'est abominable d'avoir à choisir
Entre deux innocences
Que c'est abominable d'avoir pour ennemis
Les rires de l'enfance
Pour qui, comment, quand et combien?
Contre qui? Comment et combien?
À en perdre le goût de vivre
Le goût de l'eau, le goût du pain
Et celui du Perlimpinpin
Dans le square des Batignolles
Mais pour rien, mais pour presque rien
Pour être avec vous et c'est bien
Et pour une rose entr'ouverte
Et pour une respiration
Et pour un souffle d'abandon
Et pour un jardin qui frissonne
Ne rien avoir, mais passionnément
Ne rien se dire éperdument
Ne rien savoir avec ivresse
Riche de la dépossession
N'avoir que sa vérité
Posséder toutes les richesses
Ne pas parler de poésie, ne pas parler de poésie
En écrasant les fleurs sauvages
Mais voire jouer la transparence
Au fond d'une cour aux murs gris
Où l'aube n'a jamais sa chance
Contre qui ou bien contre quoi?
Pour qui, comment, quand et pourquoi?
Pour retrouver le goût de vivre
Le goût de l'eau, le goût du pain
Et celui du Perlimpinpin
Dans le square des Batignolles
Et contre rien, contre personne
Contre personne et contre rien
Mais pour une rose entrouverte
Pour l'accordéon qui soupire
Et pour un souffle d'abandon
Et pour ce jardin qui frissonne
Et vivre, vivre passionnément
Et ne combattre seulement
Qu'avec les feux de la tendresse
Et riche de dépossession
N'avoir que sa vérité
Posséder toutes les richesses
Ne plus parler de poésie, ne plus parler de poésie
Mais laisser vivre les fleurs sauvages
Et faire jouer la transparence
Au fond d'une cour aux murs gris
Où l'aube aurait enfin sa chance
Et vivre
Vivre passionnément
Et ne combattre seulement
Qu'avec les feux de la tendresse
Et riche de dépossession
N'avoir que sa vérité
Posséder toutes les richesses
Rien que la tendresse
Pour toute richesse
Rien que la tendresse
Pour toute richesse
Rien que la tendresse
pour toute richesse
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