Un rayon qui vacille parmi les objets immobiles
Au milieu du salon tu restes assise sur tes talons
Glacée, impassible comme un Bouddha de laiton
Des souvenirs se faufilent, viennent se casser à tes
pieds
Tu respires, difficile d’oublier ces quinze années
D’oublier cet amant qui a cessé de t’aimer
Pourquoi s’accrocher à un bonheur déjà fané ?
C’était ton grand amour, c’était ton seul amour
Qui vient de couper court
Si le temps te permet de refermer la plaie
Tu verras, tu verras, t’oublieras
Avril stérile comme un printemps sans bourgeons
Tu refais sans arrêt le parcours de tes amours
Quinze ans de « je t’aime », de « je t’aime et je
t’aimerai toujours»
Quinze ans de serments emportés par le vent
C’était ton grand amour, c’était ton seul amour
Qui vient de couper court
Si le temps te permet de refermer la plaie
Tu verras, tu verras, t’oublieras
Avril fébrile où souffle un vent de défi
Qui balaie les regrets et les procès inutiles
La douleur est une sœur qu’on a peur
d’apprivoiser
Un beau jour tu verras elle restera derrière toi
Si le temps te permet de refermer la plaie
Tu verras, tu verras, t’oublieras
Tu verras, tu verras, t’oublieras
Avril fragile avec son soleil incertain Un rayon qui vacille parmi les objets immobiles Au milieu du salon tu restes assise sur tes talons Glacée, impassible comme un Bouddha de laiton Des souvenirs se faufilent, viennent se casser à tes pieds Tu respires, difficile d’oublier ces quinze années D’oublier cet amant qui a cessé de t’aimer Pourquoi s’accrocher à un bonheur déjà fané ? C’était ton grand amour, c’était ton seul amour Qui vient de couper court Si le temps te permet de refermer la plaie Tu verras, tu verras, t’oublieras Avril stérile comme un printemps sans bourgeons Tu refais sans arrêt le parcours de tes amours Quinze ans de « je t’aime », de « je t’aime et je t’aimerai toujours» Quinze ans de serments emportés par le vent C’était ton grand amour, c’était ton seul amour Qui vient de couper court Si le temps te permet de refermer la plaie Tu verras, tu verras, t’oublieras Avril fébrile où souffle un vent de défi Qui balaie les regrets et les procès inutiles La douleur est une sœur qu’on a peur d’apprivoiser Un beau jour tu verras elle restera derrière toi Si le temps te permet de refermer la plaie Tu verras, tu verras, t’oublieras Tu verras, tu verras, t’oublieras Explain Request ×
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